Prospecter, gérer un portefeuille client, faire évoluer son entreprise ou maîtriser les meilleures techniques commerciales… Comment savoir ce qui permet réellement de devenir un excellent vendeur ? Bac-pro, bachelor, grandes écoles de commerce ou licence… Y a-t-il réellement une meilleure voie à choisir pour devenir un pro des actions commerciales ?
C’est ce à quoi nous allons tenter de répondre aujourd’hui. Car si les formations et diplômes permettent de valider un certain bagage de connaissances théoriques, avoir la fibre commerciale ne dépend pas du module huit de votre cours “vendre des produits : le savoir-faire commercial”.
Peu importe le secteur d’activité dans lequel vous avez évolué, pour devenir commercial, et surtout un bon commercial, vous devrez :
Le travail commercial regroupe finalement un panel de compétences à maîtriser pour entrer dans la catégorie “bon vendeur”. Au-delà des qualités intellectuelles et des compétences techniques requises pour sortir de votre École de commerce, une fois sur le terrain vous devrez faire preuve de ténacité, de motivation et parfois même de malice pour atteindre vos cibles.
En somme, une personne que l’on considère être un bon commercial !
Oui, oui et oui ! Que vous sortiez d’une École supérieure ou d’Icrac… Que vous ayez eu un diplôme d’ingénieur, un titre commercial RNCP niveau III ou aucun de ces diplômes, vous pourrez devenir un excellent commercial.
Une fois recruté par une entreprise ou lancé à votre compte, vous serez un débutant au même titre que les jeunes diplômés. Vous devrez alors commencer à développer un portefeuille client, argument pour concrétiser votre première vente de produits, et bien sûr apprendre et maîtriser les bases de la relation clients.
Vous l’aurez compris, les compétences et solutions techniques que peuvent offrir une école comme Idrac Business School ou un Bts Muc sont une base, voire un coup de pouce pour l’insertion professionnelle. Toutefois, une fois sur le terrain, la gestion de projet, le management des unités comme la gestion commerciale dépendent de vous et votre manière d’appréhender réellement les évènements.
Quand on parle de commerce, il est difficile de dissocier les notions de communication, d’échanges et de réseaux. Pour être un bon commercial, vous serez amené à confronter vos peurs pour les accepter et les surmonter. Vous souhaitez vous exercer à échanger davantage ? Voilà 3 choses à faire :
En prenant le temps de développer votre réseau, vous réussirez plus facilement à échanger avec vos prospects et par conséquent à signer avec de nouveaux clients.
Comprenez une chose. Que vous soyez conseiller commercial, chargé d'affaires ou consultant en négociation commerciale, votre relationnel et votre argumentaire sont vos plus grands alliés. Pour atteindre vos objectifs commerciaux, vous devrez effectivement avoir une bonne stratégie commerciale, mais si vous laissez de côté la gestion de la relation client, vous risquez de perdre gros. En une phrase : pour devenir un bon commercial, développez votre sens du contact.
C’est ce à quoi nous allons tenter de répondre aujourd’hui. Car si les formations et diplômes permettent de valider un certain bagage de connaissances théoriques, avoir la fibre commerciale ne dépend pas du module huit de votre cours “vendre des produits : le savoir-faire commercial”.
Qu’est-ce qu’un bon commercial ?
Une personne qui manie la prospection, la négociation et le relationnel
Peu importe le secteur d’activité dans lequel vous avez évolué, pour devenir commercial, et surtout un bon commercial, vous devrez :
- connaître les techniques de vente sur le bout des doigts ;
- mettre la satisfaction et la fidélisation client en tête de votre to-do list ;
- avoir un excellent relationnel ;
- cerner rapidement les besoins des clients.
Le travail commercial regroupe finalement un panel de compétences à maîtriser pour entrer dans la catégorie “bon vendeur”. Au-delà des qualités intellectuelles et des compétences techniques requises pour sortir de votre École de commerce, une fois sur le terrain vous devrez faire preuve de ténacité, de motivation et parfois même de malice pour atteindre vos cibles.
En somme, une personne que l’on considère être un bon commercial !
Puis-je être un bon commercial sans avoir de diplôme ?
Oui, oui et oui ! Que vous sortiez d’une École supérieure ou d’Icrac… Que vous ayez eu un diplôme d’ingénieur, un titre commercial RNCP niveau III ou aucun de ces diplômes, vous pourrez devenir un excellent commercial.
Une fois recruté par une entreprise ou lancé à votre compte, vous serez un débutant au même titre que les jeunes diplômés. Vous devrez alors commencer à développer un portefeuille client, argument pour concrétiser votre première vente de produits, et bien sûr apprendre et maîtriser les bases de la relation clients.
Vous l’aurez compris, les compétences et solutions techniques que peuvent offrir une école comme Idrac Business School ou un Bts Muc sont une base, voire un coup de pouce pour l’insertion professionnelle. Toutefois, une fois sur le terrain, la gestion de projet, le management des unités comme la gestion commerciale dépendent de vous et votre manière d’appréhender réellement les évènements.
Les actions simples qui vous aident à devenir un meilleur commercial - 2bill.fr
Échanger avec de nouvelles personnes, s’habituer à la discussion en face-à-face
Quand on parle de commerce, il est difficile de dissocier les notions de communication, d’échanges et de réseaux. Pour être un bon commercial, vous serez amené à confronter vos peurs pour les accepter et les surmonter. Vous souhaitez vous exercer à échanger davantage ? Voilà 3 choses à faire :
- Dites bonjour à vos collègues quand vous arrivez et quand vous partez du travail ;
- Engagez la conversation à la pause café ;
- Prenez l’initiative d’un appel en visio pour prendre des nouvelles d’un collègue.
En prenant le temps de développer votre réseau, vous réussirez plus facilement à échanger avec vos prospects et par conséquent à signer avec de nouveaux clients.
Comprenez une chose. Que vous soyez conseiller commercial, chargé d'affaires ou consultant en négociation commerciale, votre relationnel et votre argumentaire sont vos plus grands alliés. Pour atteindre vos objectifs commerciaux, vous devrez effectivement avoir une bonne stratégie commerciale, mais si vous laissez de côté la gestion de la relation client, vous risquez de perdre gros. En une phrase : pour devenir un bon commercial, développez votre sens du contact.
Travailler moins mais avec plus d’efficacité
“Il faut travailler dur pour réussir !”, “Tu n’auras jamais de résultats en travaillant si peu !”... Ce genre d’injonctions pourrait vous laisser penser qu’à moins de travailler jusqu’à en mourir, vous ne réussirez jamais à devenir un excellent commercial. Bonne nouvelle pour vous, c’est totalement faux ! Le métier de commercial ne se résume pas à passer des heures dans son bureau la tête baissée sur une pile de dossiers. Pour devenir un excellent commercial, vous devez apprendre à travailler intelligemment. Vous devez trouver le moyen d’être le plus rentable, le plus efficace en dépensant le moins de temps et de ressources.
Il existe une multitude de ressources (outils, applications, collègues, ouvrages…) que vous pourrez utiliser pour vous aider au quotidien. Ces ressources ne sont pas toutes bonnes à prendre. Il est dans votre intérêt de consacrer un peu de temps à choisir celles dont vous avez besoin.
Dans un second temps, vous pourrez organiser vos journées et missions tout en sachant que vous avez à portée de main les bons outils pour réaliser vos tâches quotidiennes.
Les outils essentiels du commercial
- Les applications de leads
- Les outils d'optimisation
- Le CRM et ses applications connectées
- Les logiciels de productivité ou gestionnaire de projet
Apprendre à gérer les déceptions et les rejets : se détacher du regard des autres
Non ! Ce mot, il va vous falloir l’accepter. Vos clients ne seront pas toujours enclins à prendre vos services. Il arrivera qu’un partenaire n’accepte pas vos conditions, parfois votre patron ne sera pas d’accord avec votre proposition… Et c’est OK !Faire face au rejet est une qualité essentielle d’un excellent commercial. Pour réussir à accepter plus facilement ces moments d’opposition et de rejet, souvenez-vous d’une chose : ne le prenez pas personnellement !
Ce n’est pas vous que l’on rejette, mais votre idée. Ce n’est pas vous que l’on déprécie, c’est le produit que vous vendez. Ce n’est pas vous que l’on dénigre, mais l’idée que vous proposez…
4 affirmations qui aident à accepter le “Non”
- L’échec définit ce que je suis, si je décide que je me résume à cet échec
- Si j’échoue, c’est que j’ai essayé, donc je peux être fier d’être sorti de ma zone de confort
- Échouer est dramatique, seulement si je ne me relève pas
- Quand il y a échec, il y a un apprentissage
Être commercial ou être un bon vendeur : 3 choses qui font la différence - 2bill.fr
L’art de la persuasion pour vendre et fidéliser
Si vous n’êtes pas persuadé que vous proposez la meilleure solution à votre prospect, comment pourrait-il avoir envie d’acheter chez vous ?
Pour flirter avec le succès, vous devrez apprendre l’art et la manière de convaincre votre entourage, d’amener vos idées et argumentaires sans perdre l'intérêt de votre audience. Vous le savez pertinemment, il n’y a rien de pire que d’avoir une discussion qui s’éternise avec une personne ennuyeuse ou arrogante.
Comment persuader ? En étant convaincu ! Plus vous apprendrez à connaître vos clients, leurs besoins comme leurs problèmes, plus vous aurez la certitude que votre produit ou service est fait pour eux.
Avant de vous transformer en artiste de la persuasion, vous devrez :
- Apprendre à connaître vos clients
- Être expert de votre domaine (de ses produits et services)
- Développer votre empathie
- Être à l’aise à l’oral
L’écoute active, pour améliorer la relation client
Au-delà de l’assurance et de l’expertise... Le succès commercial vient aussi de la capacité à écouter. Pour avoir le mot juste, le bon volume sonore, la bonne posture… Il est essentiel d’être à l’écoute des signes. Qu’elle soit verbale ou non, la communication d’une personne en dit long sur ses intentions.Un bon vendeur parle bien moins qu’il n’écoute. Dans les relations interpersonnelles, cela se vérifie également.
7 points qui résument l’écoute active
- Le contact visuel
- Le focus sur son interlocuteur
- Poser des questions ouvertes
- Laisser des temps de pause
- Reformuler les réponses
- Prendre le temps de réfléchir à ce qu’on vient de vous dire, avant de répondre
- Lire entre les lignes (faire attention à ce qu’on ne vous dit pas)
L’autodiscipline, pour booster sa force de vente
Et voilà la dernière clé du succès ! L’une des plus importantes puisqu’elle a des conséquences sur les cinq autres. Chaque journée est limitée dans le temps. Vous devrez donc apprendre à composer avec les impératifs de vos clients, ceux de vos collègues, de votre famille… Sans oublier les vôtres.Il est donc impératif d’avoir une forme d’autodiscipline, sans quoi vous vous retrouverez noyé par le travail ou pire encore… Vos journées seront totalement contre-productives parce que vous aurez passé votre temps à procrastiner.
Comment devenir plus discipliné ?
- Poser un objectif clair qui vous aidera à vous motiver
- Noter les tâches inutiles
- Lister les choses essentielles à faire
- Prévoir des pauses
Voilà, vous savez tout ! 2bill.fr vous remercie pour votre lecture. Toute l’équipe de rédaction du Mag de 2bill.fr espère vous avoir aidé.